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"Depuis toujours, Emile
Verhaeren était l'un de mes poètes préférés.
Illustrer son oeuvre me procura un profond sentiment de communion
artistique.
Pour traduire la force dramatique des "Campagnes hallucinées",
les ciels lourds du nord, la triste beauté des paysages d'usines,
j'ai employé les noirs puissants de l'eau-forte bien mordue..."
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