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"Je me souviens de ma rencontre
avec Montherlant, un homme plutôt froid, distant. Mais le
texte du roman était très beau. Il fallait exprimer
la poèsie un peu triste d'un internat parisien, la pureté
des visages d'adolescents. J'avais, en réserve, de nombreux
dessins d'enfants. Je m'en suis servi..."
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