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"Une vraie communion d'esprit
m'unissait au grand poète auvergnat qu'était Henri
Pourrat. Nous partagions un amour commun pour la paysannerie et
la terre. L'inspiration fut donc au rendez-vous pour exécuter
les vingt neuf pointes sèches qui devaient illustrer son
merveilleux "Calendrier des bergers". Depuis ma Haute-Loire
voisine, j'allais lui rendre visite dans sa bonne ville d'Ambert.
Ensemble, nous évoquions la poèsie des campagnes,
les mystères de la nature..."
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